Le cerveau de la famille d’ivoire
La lumière des lanternes vacillait dans l’atelier silencieux du calligraphe. Assis destinées à son bureau, il traçait d’un acte régulier les symboles sur le papier de riz, donnant l’encre s’imprégner dans la fibre délicate. Depuis 60 jours, une chose étrange hantait son emploi : n'importe quel matin, alors que personne n’était en